La question des mobilités, des personnes et des biens, est au coeur de bien des politiques (Zone à Faible Emission, mobilités durables), sans que la mairie ait la main sur les instruments d'une politique des transports décarbonée. Celle-ci d'une part relève de l'échelle métropolitaine et régionale; mais d'autre part, les mobilités sont aussi la résultante des formes urbaines héritées - marquées dans l'agglomération marseillaise par un extrême éclatement (étalement et fragmentation urbaine). Pour autant, plusieurs pistes visant à promouvoir des mobilités "durables" sont explorées, avec des effets inégalement ressentis selon les quartiers, les groupes sociaux et les secteurs d'activité.

La question des mobilités, des personnes et des biens, est au coeur de bien des politiques (Zone à Faible Emission, mobilités durables), sans que la mairie ait la main sur les instruments d'une politique des transports décarbonée. Celle-ci d'une part relève de l'échelle métropolitaine et régionale; mais d'autre part, les mobilités sont aussi la résultante des formes urbaines héritées - marquées dans l'agglomération marseillaise par un extrême éclatement (étalement et fragmentation urbaine). Pour autant, plusieurs pistes visant à promouvoir des mobilités "durables" sont explorées, avec des effets inégalement ressentis selon les quartiers, les groupes sociaux et les secteurs d'activité.

L'Atelier Marseille 4-5 a débuté sur cette question en s'interrogeant sur la "logistique du dernier kilomètre", et en particulier la cyclo-logistique qui s'affiche comme à la fois décarbonée et socialement juste. Cette "logistique durable" fait l'objet d'une intervention émergente de la mairie que l'Atelier a souhaité analyser et accompagner.

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